Présentation
Hello visiteurs ! Je suis Clara, une développeuse web fullstack mais pas que ! Je vis à la campagne dans une maison ancienne entourée d’animaux et de verdure. Passionnée par les animaux et la nature, je suis également une fan de technologies et de jeux vidéos, malgré le caractère plutôt opposé de ces deux passions. J’ai également d’autres centres d’intérêt comme la cuisine, la marche, le bricolage, le dessin… Bref, je suis intéressée par beaucoup de choses !
Je partage sur mon blog des petites anecdotes, découvertes ou aventures sur tout ces sujets.
Vous trouverez aussi une section “Projets” qui regroupe mes projets personnels qui tournent autour du développement web !
Pour les plus courageux, vous pouvez continuer de scroller pour lire mon parcours plus en détail, sinon, je vous souhaite une bonne navigation !
Au plaisir !
Toujours ici ? Vous voulez en savoir plus sur mon parcours, je vois. Qu’est ce qui attire votre curiosité finalement, mon parcours professionnel, la liste de tout mes animaux par ordre d’arrivée ? Tout ça à la fois ? Vous n’avez rien dit et j’invente vos réponses ? Et bien on y va quand même !
Mon parcours professionnel
Comment devient-on développeuse web quand on est une petite fille qui passe ses soirées libres à jouer aux jeux vidéos et à supplier ses parents d’avoir un animal de compagnie ? En passant par un bac pro dans le graphisme bien sur !
En réalité, en sortie du collège je savais avoir quelques passions : les animaux, la cuisine, les ordinateurs et le dessin.
Comme possibilité de métier, on pourrait tenter de devenir vétérinaire ? Hmm mais aurais-je le cran de voir des animaux blessés chaque jours et des familles anxieuses pour leur animal malade… Je ne pense pas.
Un travail dans la cuisine alors ? Mais soyons réalistes, j’aime cuisiner des chouettes plats chez moi, est-ce que ça veut dire que j’apprécierai de cuisiner toute la journée des recettes qui ne sont pas de moi ? Est-ce que je prend le risque de me retrouver à “juste faire la plonge les premières années” ? Finalement, très peu pour moi.
Il nous reste donc le dessin et les ordinateurs, peut-être pourrais-je trouver un métier où je ferai des dessins sur un ordinateur ? Après tout, aucun risque de voir des animaux blessés ni de faire la plonge, et être assise derrière un écran à créer des choses jolies, ça semble être un bon plan !
En route donc pour un bac professionnel dans l’édition, la publicité, et l’imprimerie.

Au départ, le choix semble être le bon, les cours sont intéressants, j’apprend le fonctionnement de l’affichage couleur des écrans, j’apprend à utiliser des logiciels de design professionnels, et ça m’amuse beaucoup.
Mais vient le moment des stages en entreprise, et la réalité du métier me frappe de plein fouet : il faut être créatif tout les jours, savoir se renouveler continuellement, faire face aux pages blanches, et à l’imperfection de son travail qui sera jugé, modifié, affiché, puis critiqué. On est bien loin de mes petits doodles dessinés sur le coin de page de mon agenda, de mes petits dessins faits au fil de l’inspiration, on en est très loin. Là c’est du design au niveau professionnel.
Je comprend alors que ne peux pas me permettre de me lancer dans un métier qui repose sur ma créativité et mon inventivité, ce sont des choses que je chérie et que je veux garder dans ma sphère de passions, je ne prendrais pas le risque de les mélanger à un métier exigeant dans ce domaine.
Bon, très bien, je veux donc me trouver un métier où il n’est pas possible de me retrouver face à une page blanche, un métier plus mécanique, logique, basé sur mes connaissances, et non pas sur ma créativité.
La dernière passion sur ma liste, c’est les ordinateurs. Allons voir par là du coup, mon métier idéal serait probablement dans la réparation de matériel informatique ? C’est un métier avec absolument aucun impact émotionnel, c’est donc probablement le meilleur plan, allons-y !
Et c’est ainsi que je poursuit mon bac pro graphisme avec… un BTS mécanique et informatique. Objectif : savoir réparer des ordinateurs, installer des réseaux, bref, toutes ces choses qui ne me demanderons pas de dessiner, ni d’être obligatoirement au top de ma créativité chaque jour.
Les cours se passent super bien, presque tout les sujets m’intéressent, je fais un stage dans une boutique de réparation, l’ambiance y est bien, je me vois déjà naturellement finir dans une boutique du même genre, à démonter et remonter des ordinateurs et téléphones a longueur de journée tranquillement dans l’arrière-boutique.

Mais arrivent alors les cours de développement, j’y découvre des langages et techniques assez différentes, du langage niveau machine, du langage presque parlé (coucou les fans de Python !), et du langage web…. pour lequel j’ai eu un véritable coup de foudre !
Est-ce qu’on serait en train de me dire qu’il existe un métier dans lequel je peux être devant un ordinateur dans mon arrière-boutique, à mélanger technique et logique avec un soupçon de créativité mais sans risque d’overdose ? Mais pourquoi n’ai-je pas entendu parler de ce métier plus tôt ?! Très bien, désormais je sais ce que je veux, je veux faire des sites web, assembler des blocs de logique les uns avec les autres, et des blocs de texte, de liens et de couleurs ensemble aussi.
Et c’est donc parti pour la nouvelle école après mon BTS, je m’engage sur une licence professionnelle dans le développement informatique, cette fois-ci je veux être sur le terrain, la théorie ça va bien deux minutes, mais je veux pratiquer. Je fais donc cette licence en alternance.
J’intègre une entreprise avant même le début des cours, on me fait installer mon environnement de dev local sur lequel je vais pouvoir travailler, j’installe un premier projet et fait quelques petites modifications et… le coup de foudre est à nouveau immédiat ! Je rentre chez moi le sourire au lèvres chaque soirs, vous être en train de me dire qu’en plus de m’amuser tout les jours, je vais en plus être payée pour ça ?!
Les cours n’ont même pas encore commencés que je sais déjà que c’est bon, j’ai trouvé ce que je veux faire comme métier, c’est une évidence.
Je suis donc allée jusqu’au bout de ma licence puis j’ai trouver mon premier CDI en tant que développeuse web fullstack !
Après plusieurs années à exercer, je suis toujours aussi fière d’avoir trouver ce métier qui m’amuse et me passionne toujours autant, après tout, quoi de mieux que d’assembler des blocs de logique ensemble, des blocs de textes et de couleurs ensemble, le tout confortablement installée derrière un bureau, et en plus d’être payée pour ça !?
Ok c’est beau tout ça, mais je ne suis pas définie que par mon métier
Et oui ! J’adore mon métier, c’est une passion que je chérie, mais j’ai aussi d’autres passions, dont ma principale qui reste la même depuis mon enfance : les animaux !
Petite, j’ai longtemps batailler pour que l’on puisse avoir un animal dans notre foyer, mes parents refusant, je compensais en apprenant par coeur les races de chiens, de chats, en collectant un maximum de choses en rapport avec les animaux, des peluches, des tamagochis, puis lorsque j’ai pu acquérir ma première console, évidemment j’ai commencé par plusieurs jeux sur le thème des animaux.

Ce n’est que tard que j’ai pu faire entrer mon premier animal de compagnie dans la famille, un petit animal assez silencieux, qui ne prends pas beaucoup de place et qui ne représente pas une grosse charge : un hamster. Il était petit et gris, je l’avais donc nommé Tigri.
Mais alors, comment on passe d’un hamster en ville à une presque-ferme en campagne ? Comment les choses ont-elles pu escalader si vite ?
Et bien, si vous avez suivi, mon premier animal était Tigri, un hamster russe. À l’époque je n’y connaissais pas grand chose donc nous étions allés avec ma mère dans une animalerie, et nous avons fait un tour du coté du terrarium des hamsters… L’un d’eux était d’un ton de couleur légèrement différent des autres, évidemment il ne m’en fallait pas plus pour vouloir celui-ci, et pas un autre ! Nous avions suivi les recommandations de l’animalerie en matière de matériel et d’alimentation, nous sommes donc reparties avec un hamster, une cage, une roue, quelques cabanes, une gamelle, un biberon et des granulés.
Avec le recul je me suis rendue compte que les conditions de détention de Tigri n’étaient clairement pas adaptées à son espèce, il lui aurait fallu un grand terrarium, avec une grande épaisseur de litière pour faire des galeries, surtout pas de biberon pour l’eau… Mais tout ça je m’en suis rendue compte bien après Tigri.
Malgré tout, Tigri a bien vécu pour son espèce, il parti de vieillesse, et n’a jamais eu besoin d’une seule visite vétérinaire.
Alors que Tigri prenait de l’age et semblait fatiguer, je commençais à réfléchir à la suite, mon objectif était d’avoir un chat, mais un chat et un hamster n’étant pas vraiment compatible, je cherchais quelle espèce pourrait être adaptée à la vie avec un hamster mais également avec un chat, afin de faire une transition. Le projet de base était que cette espèce vienne s’ajouter à mon foyer avant le départ de Tigri, puis qu’un chat s’ajoute enfin, ainsi, il aurait été possible de faire entrer un chat dans mon appartement après le départ de Tigri, mais avoir d’entre-deux sans aucun animaux.
Il ne m’a pas fallu beaucoup de temps de recherche pour tomber sur l’espèce idéale : le lapin ! Cette fois-ci j’avais poussé plus loin mes recherches et j’ai donc pu prévoir un environnement adapté à mon futur lapin, à savoir, de la liberté dans l’appartement, une alimentation naturelle basée sur des légumes, de la salade et du foin, un bac à litière, des cachettes…

Plus je me renseignais sur les lapins et plus j’en suis devenue fan, c’était décidé, j’allais adopter un lapin !
Malheureusement, alors que le lapin n’était encore qu’a l’étape de projet, Tigri parti, laissant mon appartement étudiant bien vide. C’était la situation que je cherchais à éviter, comme je me doutais, après avoir eu ce petit être à ma charge pendant plus de 2 ans, ne plus avoir d’animaux avec moi était une sensation insupportable, un vide, soudain, impossible a combler.
J’ai rapidement dû me faire à l’évidence, une présence animale m’étais devenue indispensable, le projet lapin était donc rapidement à nouveau en marche, et cette fois-ci, ayant quittée le nid familial, plus personne ne pouvait se mettre entre moi et les animaux à adopter !
Peu après le départ de Tigri, c’est donc Diva, une lapine toute blanche de 3 mois avec les oreilles et le tour des yeux noirs, qui est venu rejoindre mon foyer, récupérée chez un particulier. Et quel bonheur d’avoir une boule de poil qui se balade dans son chez-soi ! Quel soulagement d’avoir enfin à nouveau une présence animale quand je rentre chez moi !
Rapidement est venue la question d’un deuxième lapin, je ne voulais plus prendre le risque de me retrouver sans animaux, et après tout, cette espèce est grégaire, et depuis Diva j’ai déménagé dans un appartement plus grand, alors il y a la place pour un autre !
C’est ainsi qu’un an après l’adoption de Diva est arrivé Tormund, un lapin bélier tricolore de 2 ans, récupérée chez une particulière.
Diva et Tormund ont formés un superbe couple une fois la phase des présentations faites, et les voir intéragir ensemble est un bonheur !

Lors de l’adoption de Tormund, je vivait en colocation et l’envie d’adopter un chat étant toujours présent, mais mon colocataire n’étant pas pour, j’ai fini par chercher une autre espèce que je puisse ajouter, histoire d’ajouter tout de même plus de vie dans ce logement.
Hamster, je connaissais déjà, et j’avais envie d’une espèce plus… dynamique, que je puisse voir en journée, et qui vive en groupe.
C’est finalement sur les gerbilles que mon dévolu s’est jeté, c’est donc 3 petites gerbilles récupérées de la SPA de ma ville qui sont venues agrandir le foyer !
Quelques temps plus tard, j’ai pris mon appartement en solo, désormais plus personne ne peux émettre de désaccord quant à l’adoption de nouveaux individus, il n’y a pas eu besoin de longtemps avant que ce repose la question du chat… Après tout, avant d’avoir le coup de foudre pour les lapins, c’était un chat que je voulais à l’origine !
Et c’est ainsi que j’adoptais mon premier chat, Trico, un chat tout gris récupéré chez une particulière. A peine arrivé à la maison du haut de ses 3 mois, je me souviendrai toujours de sa première action : se réveiller de la caisse de transport, me voir, et venir se recoucher à mes pieds. C’était la première fois qu’un animal me faisait confiance dès sa première minute à mes côtés, j’étais aux anges.
Mais qui dit chat très vite attaché fut synonyme de chat qui ne supporte pas de rester seul à la maison, après tout c’est avec moi qu’il interragissait le plus, les lapins, eux, se fichaient de sa présence.
C’est donc tout naturellement qu’après une année, je me suis mise à envisager d’adopter un deuxième chat, afin de tenir compagnie à Trico lorsque je suis au travail.
Étant entre temps devenue famille d’accueil pour un association dans ma ville, c’est tout naturellement que je me suis tournée vers eux pour savoir si ils avaient un chat qui puisse correspondre à mon mode de vie et qui puisse vivre avec Trico, qui avait tout de même son joli caractère. L’association venait justement de récupérer un chat estimé à un an, tout juste rétabli d’un empoisonnement, et apparemment très calme et cool avec ses congénères.
Je n’ai pas hésité, sans même savoir à quoi ressemblait ce chat, j’ai fait confiance à l’asso et je suis allée le récupérer peu après, je m’attendais à un chat typé “de rue” mais quelle ne fut pas ma surprise de tomber sur un magnifique chat bicolore gris et blanc à poil long, avec un regard perçant de douceur !
L’asso venait tout juste de le récupérer, il n’avait donc pas de nom, j’ai pu le choisir moi même, il s’appellera donc Pucci.
C’est ainsi que la vie dans cet appartement a continué avec pas moins de six individus partageant ma vie, avec tous des caractères différents et des comportements variés, l’appartement était plein de mouvement !

Et… ce n’est pas fini évidemment, pourquoi s’arrêter en si bon chemin ?
Vient le moment où, ça y est, j’ai pu me procurer une maison en campagne, mais, qui dit maison en campagne dit…. plein de possibilités de nouvelles espèces !
Alors même que les clés n’étaient pas encore en ma possession, je tombe sur une annonce de l’association, partageant une portée de chiots croisés beauceron disponible à l’adoption.
Je tombe nez-à-nez avec la photo et la description d’Atego, un chiot de la portée, qui ressemble traits pour traits à l’image que je me faisait depuis petite de mon chien idéal. Un pur coup de foudre !
Le déménagement allait bientôt avoir lieu, j’allais avoir une maison individuelle et un grand terrain, en campagne, avec pleins de chemins de balades, le moment idéal, non !?
Je contacte donc l’asso et après quelques mises en garde sur le fait qu’Atego soit un chien très sensible et difficile, je passe le voir dans sa famille d’accueil, et le coup de foudre est confirmé : qu’il soit sensible et difficile ne sera pas un problème, je donnerai tout pour m’occuper au mieux de lui, et je suis prête à me lancer dans cette nouvelle aventure avec lui.
A peine le temps de déposer mes valises que je ne tarde que très peu à récupérer Atego, mon premier chien, mon chien de rêve depuis toute jeune, et je l’amène dans cette nouvelle maison, impatiente de vivre ce chapitre.

Bon, nous avons les lapins, les chats, le chien… Mais le terrain ne serait-il pas un peu trop vide ? Vous soupirez d’avance à l’idée que j’ajoute une nouvelle espèce à mon pokédex ? Prenez une grande respiration, et avouez que des poules seraient parfaitement adéquates pour agrémenter le jardin !
Et oui, après l’adoption d’Atego je n’ai pas tardé à récupérer quatres poules, toutes de couleurs différentes, auprès d’un éleveur de la région.
Inspirée par un ancien collègue de travail, je décide de nommer toutes mes poules avec des jeux de mots.
Viennent donc s’ajouter dans toute cette famille : PouleParty, PouleEmploi, Poulenareff et PouleOver.
Bon, maintenant c’est fini, non ? Deux lapins, deux chats, un chien, quatres poules… C”est bien assez pour une personne !
A moins que… un chien, c’est bien, mais deux…. c’est mieux, non ? J’ai toujours adoré les chiens depuis enfant, j’ai toujours rêver d’en avoir un groupe, de faire des randonnées avec plusieurs chiens, de les voir intéragir entre eux…
Oh et puis qui suis-je pour essayer de vous convaincre, vous avez lu jusqu’ici, vous savez très bien comment ça va ce finir !
Bon, l’idée implantée dans mon esprit d’avoir un deuxième chien étant bien là, reste à savoir quel chien maintenant. Soyons pragmatique, j’ai un gros croisé beauceron qui est peureux de beaucoup de choses, et qui est difficile à sortir, quel serai le chien idéal pour faire la paire en prenant le moins de risque de problèmes ? A priori, un chien de petite taille, déjà adult, qui soit habitué et patient avec ses congénères.
Des races chiens de petite tailles, il y en a une qui m’attire depuis petite, ce sont les Cavalier King Charles, surtout les blancs tachetés de marrons (dit “Blenheim”) qui ressemblent à un de mes doudous d’enfance.
Je me renseigne sur les différentes possibilités pour se procurer un individu adulte de cette race si rarement trouvée en refuge, et je découvre alors les retraites d’élevage, ces chiens ayant fait quelques portées au sein d’un élevage de la race, puis replacées dans des familles.
Voila probablement ma garantie d’avoir un Cavalier King Charles adulte et habitué à ses congénères !
Un élevage se situant dans la région avait des femelles disponibles pour retraite, dont une de seulement 4 ans ! Ni une ni deux, je contacte l’élevage pour la récupérer, c’est ainsi qu’Omega a rejoint la famille à son tour !

Et voila, c’est ainsi que je me suis retrouvée d’adolescente en appartement, rêvant d’avoir des animaux, à une adulte dont la maison ressemble plus à une ferme qu’à une maison ! Mais qu’il est bon de vivre entourée de tous ces animaux, quelle passion de les voir interagir entre eux et avec leurs environnement, il y a toujours quelque chose à observer à la maison, quelque soit la pièce ! Il y a toujours un animal à portée de vue, ou même à portée de main, toujours des activités à faire avec eux, des installations à renouveler ou améliorer, des choses à leurs apprendre, ou simplement passer du bon temps à les regarder vivre.
Cet article ce fini ici mais ce foyer ne va pas cesser de s’agrandir, il y a tellement d’autres animaux que j’aimerai ajouter à cette petite troupe !
Il pourrait y avoir plus de poules, plus de chiens, pourquoi pas une ou deux tortues, et avec un terrain supplémentaire, pourquoi pas même des moutons, et puis des ânes !? Beaucoup d’individu que j’aimerai pouvoir observer vivre paisiblement en m’occupant d’eux, un jour je pourrais, c’est sûr !
En attendant, je profite de ma petite vie paisible dans ma campagne avec ma petite ferme déjà bien riche en animation !
Vous êtes encore là ?
Woaw, vous avez beaucoup de temps libre visiblement ! Sur cette page je résume (parce que oui, c’était la version courte !) mes deux passions principales que sont le développement web et les animaux, mais j’ai encore beaucoup à raconter et sur d’autres sujets variés !
N’hésitez pas à faire un tour dans la section Blog de ce site, j’y poste des articles sur plein de sujets, telles que des randonnées sympa que j’ai faites, des nouvelles des animaux, des travaux dans la maison, des jeux vidéos que j’ai appréciés… bref, beaucoup de choses !
Bonne lecture !